Scanners

théo bédard

Théo Bédard est diplômé des beaux arts de Bourges en 2018. Il s’attelle depuis à intégrer son travail artistique dans des domaines divers allant de l’illustration de presse à la recherche scientifique. Convaincu de l’importance de créer des ponts esthétiques entre les savoirs il tente de le faire par sa pratique multimédia et un certain goût pour le mystère.

Formation :

- 2016 /2018 : DNAP, DNSEP avec mention,
Ecole Nationale Supérieur d'Art de Bourges.

Expositions :

- Juin 2022 : Le Jardin du Savoir,
Maison Jean Cousin, Sens.

- Juin 2019 : Dépot d'oeuvre,
Infrastructure artistique "cONcErn", Fondation " T.V.A ", Cosne-d'Allier.

- Juin 2019 : Biennale « Mulhouse 019 »,
Parc des Expositions de Mulhouse, Fondation " T.V.A ", Mulhouse.

- Sept. /Oct. 2018 : Diplômés 2018, extrait,
La Box, Bourges.

- Février 2017 : Exposition collective,
centre d’art contemporain «Verksmidjan», Hjalteyri, Islande.

- Mai /Juin 2016 : Le son que fait la page,
Médiathèque de Bourges.

- Avril 2014 : Le potentiel des défaillances,
Prieuré Saint martin, Bourges.

Résidence :

- Juin 2021 : structure artistique "cONcErn", Cosne d’allier,
Fondation T.V.A ( Ambre Dourneau, Théo Bédard ).

Illustration :

- Journal CQFD
- Revue Éduquer

Développement web :

- https://t-v-a.org
- http://alixgastineau.com
- http://ambredourneau.org

Autres :

- 2018 : Membre et cofondateur de la Fondation T.V.A
(Ambre Dourneau, Théo Bédard)

Scanners

2020
Impression : mai 2021, imprimerie Barré
Description : 20 X 25 cm, 44 pages

« Scanners » est un projet éditorial de bande dessinée monté en collaboration avec l'association "Jardin du Savoir". Un certain nombre de très jeunes artistes se sont réunis à cette occasion autour d’un processus de travail expérimental.

À partir d’une fresque peinte collectivement, ils ont créé des vignettes par l’intermédiaire de gabarits. Par ce jeu de recadrages, ces fragments ont gagné une valeur abstraite ouverte à l’imaginaire.
Chaque artiste ou duo d’artistes ont interprété ces formes afin de créer une narration. Si les images sont parfois identiques, leur contexte change et par un montage utilisant les codes de la bande dessinée elles prennent des sens inattendus.

Aboutissant à des styles artistiques radicalement différents, « Scanners » montre que les même images réappropriées puis détournées peuvent être utilisées afin de raconter le merveilleux mais aussi l’horreur !